Être à contre-courant

Jésus lui dit: Je suis le chemin, la vérité, et la vie. (Jean 14:6)

LE DÉFI D'ÊTRE PARFOIS À CONTRE-COURANT DE NOTRE TEMPS

Le relativisme

L'athéisme, l'agnosticisme, le matérialisme et le scepticisme

Le pluralisme et l'humanisme

Nous vivons à l"ère du relativisme et il est vrai que tellement de choses de nos jours prétendent toutes à la fois à la vérité absolue que cela nous donne l'impression qu'il n'y a pas de vérité absolue.

Le relativisme est un système de pensée dans lequel il y a présence d'une seule certitude absolue, celle qui dicte qu'il n'y a pas vraiment rien d'absolu, surtout en ce qui concerne Dieu.

Dans ce système de pensée, on valorise d'une part la recherche de l'absolu comme une bonne chose, mais d'autre part, on est aussi prêt à lyncher publiquement quiconque prétend avoir trouvé une vérité absolue.

Autrement vu, le relativisme prône ainsi une croyance selon laquelle personne n'a tort sauf celui qui prétend avoir raison.

C'est ce qui fait que si vous pensez que vous êtes vraiment un chat, vous pouvez me demander de vous appeler un chat même si vous n'en êtes pas un.

Le bon sens me dit qu'il y a une seule réalité qui nous unit tous et qu'il y a donc par conséquent une seule vérité objective qui nous unit tous malgré nos impressions subjectives et c'est cette vérité là qu'il faut chercher ensemble et partager.

Le bien dans un contexte donné, c'est le bien pour tous et le mal, dans un contexte donné, c'est le mal pour tous.

Le bien absolu ne peut pas être tout ce qui nous fait du bien personnellement et temporairement. Lorsque notre vision du monde est dictée par ce qui nous fait personnellement du bien ici et maintenant, nous pouvons errer en faisant réellement le mal pensant faire le bien.

Autrement, ce n'est pas parce quelque chose nous fait du bien à court terme et localement dans notre personne (notre corps, nos désirs, nos idées, nos finances, etc.) que c'est représentatif du bien absolu.

Dieu est en position de définir ce qu'est le bien car il a créé ce monde en ce sens. Dieu nous l'a fait savoir dans les Écritures saintes et l'a aussi écrit dans notre coeur, mais encore faut-il s'y attarder.

Si Dieu a dit que le bien était ceci ou cela, si nous tentons de noyer le poisson ou de faire valoir une autre alternative qui nous avantage ouqui défend notre façon de faire, nous sommes alors dans l'esprit de rébellion au lieu de chercher à véritablement comprendre ce que Dieu en a dit et où est notre erreur car Dieu est parfait alors que nous ne le sommes pas.

Romains 12:2 - Ne vous conformez pas au monde actuel, mais soyez transformés par le renouvellement de l’intelligence afin de discerner quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, agréable et parfait.

Dans l'esprit de rébellion qui rejette d'emblée les Écritures, prétendant ainsi savoir au-dessus de Dieu de par le fait même, aucune preuve ne sera jamais suffisante sur la véracité des enseignements de la Bible ou sur l'existence rationnelle de Dieu.

Parfois, il m'arrive d'écouter les nouvelles et les discours qui appuyent les courants sociaux de notre monde et tout cela me semble un peu fou. Ne faites-vous pas le même constat en silence? Voici ce que les Écritures nous en disent en tout cas:

1 Corinthiens 3:19 - Car la sagesse de ce monde est une folie devant Dieu.

Le pluralisme et l'humanisme

L'athéisme, l'agnosticisme, le matérialisme et le scepticisme

Le pluralisme et l'humanisme

Le pluralisme est une forme de relativisme culturel où aucune opinion - en tout cas celles qui ne peuvent se vérifier en-dehors des faits de la science - n'est meilleure ou plus vraie que celle d'autrui.

Le pluralisme met l'accent sur l'importance de la liberté de pensée, d'expression et d'association, et soutient la protection des droits des minorités et la promotion des libertés civiles.

L'humanisme quant à lui est un système de pensée qui met l'accent sur la valeur et l'action des êtres humains, individuellement et collectivement, et préfère généralement la pensée critique et les preuves à l'acceptation du dogme ou de la superstition.

L'humanisme préconise une vision du monde laïque, rationnelle et centrée sur l'humain, mettant l'accent sur la raison, l'éthique et la justice, ainsi que sur la dignité et la valeur inhérentes à tous les êtres humains.

On est donc en plein dans l'esprit de rébellion ici avec l'humanisme.

La science matérialiste ne nous sera pas ici de grand recours car elle ne sait par se prononcer d'elle-même subjectivement sur rien. Dans un monde où tout ou presque dans ce que l'humain pense, dit et fait est subjectif dans les faits, c'est donc l'humain qui fait parler la science subjectivement, selon ses intérêts idéologiques, politiques, financiers, etc.

Sans dire que tout est mauvais dans le pluralisme et l'humanisme bien entendu, car il faut nuancer les choses, le défaut central est l'absence de mécanisme décisionnel impartial et objectif en matière d'affaires collectives par rapport à des principes qui sont d'ordre subjectifs.

En effet, dans un système basé sur l'humanisme et le pluralisme, qui peut indiquer ce qui est suffisamment éthique pour être classé de la sorte?

Qui des hommes ou des femmes peut indiquer ce qui est juste ou injuste, bon ou mauvais, vrai ou faux et sur quelle base(s)?

Est-ce que telle courant social est bon ou mauvais pour l'humanité?

Est-ce que ce qui est bon devrait être déterminé démocratiquement dans un système qui permet l'influence et la manipulation par l'information?

Est-ce que ce qui est bon peut être déterminé par une personne et non par une autre sur base de diplômes universitaires? Qui corrige selon quoi?

Est-ce qu'il faut être un juge de métier pour déterminer de qui est bon de ce qui est mauvais pour l'humanité? Jusqu'à quel âge?

Qui a aurorité suprême quand vient le temps de décider des vrais enjeux?

Est-ce une meilleure idée que des enfants soient exposés à des questions d'identité sexuelle en bas âge plutôt qu'à l'amour de Dieu? Qui décide?

Qui peut dire si d'attaquer un pays dans un cas est une bonne chose et pas dans une autre?

On voit que l'humanisme et le pluralisme s'essouflent quand on essaie de les faire courir dans certaines directions de questionnement qui sont des directions légitimes à l'égard de l'existence, de la vie et de l'activité humaine.

Proverbes 19:21 - Il y a dans le coeur de l'homme beaucoup de projets, Mais c'est le dessein de l'Eternel qui s'accomplit.

L'athéisme, l'agnosticisme, le matérialisme et le scepticisme

Faire de l'argent la priorité de notre monde est une aberration

L'athéisme, c'est de croire que Dieu n'existe pas.

L'agnostique croit quant à lui que nous sommes incapables de savoir si Dieu existe ou non, c'est à dire la négation d'une "gnose" (connaissance personnelle) de l'existence de Dieu est impossible.

C'est donc ici l'idée qu'il n'y a rien de sacré, de saint, de divin, ou encore, que c'est par la seule connaissance scientifique que l'humain pourra peut-être atteindre un jour un niveau de perfection suffisante pour le salut de l'humanité toute entière.

Le scepticisme, lorsqu'on le pousse un peu à cracher ce qu'il est dans ses derniers retranchements, devient une doctrine selon laquelle l'esprit humain ne peut atteindre aucune vérité générale et que tout est donc faux en tout ou en partie.

Lorsqu'on mélange tout cela, on peut arriver à penser que notre monde est une simulation créée par une civilisation avancée (certains le pensent, cela s'appelle "la théorie de la simulation"), ce qui ressemble alors à un amalgame de matérialisme (car cette civilisation là elle serait quand à elle matérielle et donc réelle) et d'un scepticisme proche de la pensée du "monde illusoire" prôné par ailleurs par certaines traditions spirituelles orientales (le concept de Maya).

On retrouve, dans le spectre des propositions vues brièvement ci-dessus, que ce qui compte et ce qui existe vraiment, c'est ce qui est mesurable OU encore, que le monde dans lequel vous vivez est une illusion ou une simulation.

Logiquement, ce sont là deux extrêmes à l'opposé l'un de l'autre qui ne peuvent être tous deux vrais: soit l'un des deux est faux, soit les deux sont faux.

Les deux sont faux quant à moi. Dieu a créé le monde, qui n'est pas une illusion, mais ce monde comprend aussi une dimension "céleste", intemporelle, qu'il faut privilégier à condition que la grâce de Dieu nous aille permis de commencer à pouvoir le voir et l'apprécier.

La dimension "céleste" comporte des phénomènes intemporels, des puissances, souvent représentées ou symbolisées comme des déités mineures ou des divinités païnnes.

Dans la dimension "céleste". on peut penser à l'amour, la justice, la miséricorde et ainsi de suite, mais aussi à leurs opposés dont la haïne, l'injustice, la cruauté. Ce sont là les puissances du mal et du bien, qui ont donc une réalité objective dans la dimension "céleste" de notre monde.

L'idée ici n'est pas de développer un ésotérisme très poussé de la chose, mais de comprendre que non seulement notre monde terrestre est réel, mais qu'il y a des puissances invisibles pour l'appareillage scientifique matéraliste qui sont cependant tout aussi réelles et que l'on peut classer généralement soit du côté du bien, soit du côté du mal.

En privilégiant ainsi, de par la grâce de Dieu, certains aspects de la dimension "céleste" (abstraite) de la création, nous pouvons mieux vivre tous ensemble, ici et maintenant, dans la dimension "terrestre" (terre-à-terre), autrement dominée par les puissances du mal, cela me paraît l'évidence même.

Éphésiens 6:12 - Car nous n'avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes.

Faire de l'argent la priorité de notre monde est une aberration

Les valeurs traditonnelles ne sont pas dépassées, mais essentielles!

Faire de l'argent la priorité de notre monde est une aberration

L'argent mène le monde n'est-ce pas?

L'argent, comme moyen d'échange et outil économique, ce n'est pas un problème en soi, c'est l'amour de l'argent et de tout ce qu'il peut apporter de terrestre qui l'est.

En effet, lorsque l'argent passe avant l'humain, lorsque 1% des humains possèdent 99% des ressources de la planète, ce qui fait que certains ont tout et que d'autres ont rien, il y a un problème.

Or, nous sommes exactement dans cette situation. Nous faisons souvent passer l'argent en premier au lieu de faire passer ce qui est sacré en premier. Dieu est ce qu'il y a de plus sacré.

Lorsque vous faites passer votre santé après l'argent et que vous avez le choix de faire autrement, vous tombez dans le panneau.

Lorsqu'une société fait passer l'argent avant la vie humaine, elle tombe dans le panneau.

Lorsque vous faites passer votre famille après l'argent et que vous avez le choix de faire autrement, vous tombez dans le panneau.

Lorsqu'une société fait passer l'argent avant la famille, elle tombe dans le panneau.

Lorsque vous faites passer vos semblables après l'argent et que vous avez le choix de faire autrement, vous tombez dans le panneau.

Lorsque vous faites passer Dieu après l'argent et que vous avez le choix de faire autrement, vous tombez dans le panneau.

Lorsqu'une société fait passer l'argent avant ce qui est sacré, elle tombe dans le panneau.

Lorsqu'une société fait passer l'argent avant le bien-être et l'équilibre des enfants, jeunes et adolescents, elle tombe dans le panneau.

Curieusement, nos gouvernements, pour se donner bonne image, imposent des normes aux établissements scolaires et aux parents bien entendu en ce qui a trait avec le bien-être de nos enfants.

Pourquoi alors un enfant peut-il consulter de la pornographie si facilement sur Internet?

Pourquoi un enfant ou un adolescent peut-il devenir accroc de la cigarette (électronique ou classique), des médias sociaux, des jeux vidéos - souvent très violents par ailleurs - et de l'Internet en général, dans une société qui se dit se préoccuper de leur sort.

Évidemment, les parents ont leur rôle à jouer, mais pourquoi doivent-ils au final lutter contre une partie du système à ce niveau? Pourquoi doivent-ils lutter contre ces fléaux permis, voire même encouragés, par la société.

Je doute que ce qui est vraiment malsain pour un enfant soit très sain pour un adulte.

Une once de merde n'est-elle pas de la merde quand même? Il y a des choses en ce monde qui n'ont simplement pas lieu d'être.

Nous savons qu'au nom de l'amour de l'argent et de tout ce qu'il peut procurer, trop d'aberrations se produisent dans notre monde.

Voici ce que notre Seigneur en dit quant à lui:

Matthieu 6:24 - Nul ne peut servir deux maîtres. Car, ou il haïra l'un, et aimera l'autre; ou il s'attachera à l'un, et méprisera l'autre. Vous ne pouvez servir Dieu et Mammon.

Mammon est ici une fausse divinité qui symbolise l'appât du gain et du pouvoir, de la richesse et de la gloire, c'est l'avarice et l'égoïsme même ainsi que la recherche des avantages et du profit personnels à tout prix ou au détriment de son réel bien-être, des besoins de base des démunis, de ce qui est sacré et de Dieu lui-même.

Se faire absolument du bien est devenu le bien absolu

Les valeurs traditonnelles ne sont pas dépassées, mais essentielles!

Se faire du bien, si c'est le vrai bien, c'est évidemment une bonne idée, mais parfois, on pense qu'une chose est bien pour nous alors qu'elle ne l'est pas en réalité.

Nous sommes dans une culture de l'invidualisme outrancier, fondé sur un égoïsme profond et la recherche du plaisir temporel tous azimuts.

Aujourd'hui, il est vu comme bien et parfaitement "logique" en ce sens pour l'individu de safistaire tout ce qui va dans le sens de ses désirs, même les plus fous.

Tous les désirs et les fantasmes, désormais élevés comme des besoins authentiques et absolus, peu importe leurs impacts sur le reste autour, doivent être considérés pour vivre une vie optimisée autour de son nombril en quelque sorte.

C'est ainsi que si j'ai besoin de deux conjoints, l'un m'apportant ceci et l'autre m'apportant cela, c'est intelligent, même bien vu par certains, de procéder de la sorte dans le polyamour.

Je parle en connaissance de cause car je suis tombé dans le panneau du "bien relatif" assez solidement merci, pensant bien faire pour moi-même et les autres!

En effet, je suivais ce que je ressentais d'avantageux pour moi, peu importe si cela était ou non en accord avec de qui est bon et juste indépendamment de moi-même.

Ce qui était devenu bon et juste revenait à ce qui était plaisant et avantageux pour moi, point. L'autre devait alors s'adapter et c'était là pour lui ou elle l'occasion de grandir, de maturer, de comprendre certains aspects de sa personne, etc. J'étais dans l'erreur grave.

Cette façon de voir est ancrée dans le mouvement du développement personnel, qui comporte certes son lot d"outils pertinents, mais qui dans son fondement même, est problématique en ce sens qu'il prône un bien "intellectualisé' et "personnalisé" relatif à soi-même qui n'est pas celui qui a été mis dans notre coeur par Dieu.

En résultait des tensions internes dans mon psychisme et mon système nerveux, ainsi que des micro-déchirures intérieures devant lesquelles ceux et celles qui sont dans ce piège là doivent s'enfoncer encore plus davantage pour "se raisonner" et "se justifier" dans leurs comportements erronés par rapport à ce qui est réellement beau, vrai, sensé, bon et juste.

En effet, ce qui est beau, vrai, sensé, bon et juste pour nous ET les autres, Dieu l'a mis dans notre coeur et dans les Écritures, mais des intérêts autres (humains et sataniques) projettent dans notre coeur toutes sortes de faussetés en cherchant à convaincre notre esprit et à nous tenter par la chair du contraire.

Dieu avait raison et j'avais tort, c'est pourquoi j'ai réorienté ma vie en faveur de Dieu et à sa gloire plutôt que de me glorifier moi-même et de rechercher inutilement toutes sortes d'avantages et de plaisirs qui ne sont que passagers de toute façon.

Non pas que je suis "petit", car vis-à-vis mes pairs, je me débrouille fort bien, mais par rapport à Dieu, je ne suis pas même digne de délier ses sandales.

Les amis, chercher à transformerà tout prix tous ses désirs et petits caprices en réalité est laid, faux et malsain globalement.

Je vous souhaite, si ce n'est pas déjà le cas, de vous en rendre compte de par la grâce de Dieu.

Jacques 1:14-15 - Mais chacun est tenté quand il est attiré et amorcé par sa propre convoitise. Puis la convoitise, lorsqu'elle a conçu, enfante le péché; et le péché, étant consommé, produit la mort.

1 Jean 2:16 - car tout ce qui est dans le monde, la convoitise de la chair, la convoitise des yeux, et l'orgueil de la vie, ne vient point du Père, mais vient du monde.

Les valeurs traditonnelles ne sont pas dépassées, mais essentielles!

Vous devez constater que depuis plusieurs décennies, il y a un mouvement de fond qui cherche à tasser, à minimiser, et ce, dans l'optique de détruire, tout ce qui a de la valeur dans les traditions du passé.

Que ce soit le respect des ainés, des parents et de l'enfance, de l'autorité parentale en soi, la famille, le mariage ou la religion, on cherche à détruire le tissu même qui a tenu et tenait le monde ensemble au-delà de l'argent et des difficultés jusqu'à présent.

Il y a des nuances à faire dans tout cela, mais pas sur le fond, car lorsque ce qui tient le monde ensemble, au-delà de l'argent et des difficultés temporelles, est détruit, nous sommes tous vulnérables face aux autres puissances néfastes de ce monde et l'espoir s'effondre.

Ce n'est pas pour rien ni par hasard que de plus en plus de personnes tombent dans un cynisme profond et qu'ils cherchent à compenser par l'étourderie, l'addiction, la consommation, la haine et la violence ou encore, l'auto-destruction. La pensée à long terme n'est plus possible dans l'environnement court-termiste.

Enlever l'humanité de l'humanité et le naturel du naturel, c'est anti-homme et anti-nature. Il n'y a pas d'autre mots, il n'ya pas d'autres qualificatifs, ce n'est pas du progrés véritable. Si c'est de l'ouverture d'esprit, dites-moi jusqu'où cette ouverture d'esprit ira et pourquoi elle s'y arrêterait.

On attaque l'existence même de la masculinité et la féminité qui se complètent fort bien dans la nature par ailleurs en temps normal.

On attaque le corps et la nature directement de par tout ce qui dénature et pollue matériellement et psychiquement.

On attaque l'histoire, les personnages et les institutions fondatrices de nos sociétés au nom d'une rectitude politico-socio-culturelle schizophénique parce qu'elle prône et produit indirectement ce qu'elle condamne. Elle isole et tente d'ostraciser certaines personnes qui ont des divergences d'opinion au nom de la défense d'autres personnes qui se sentent isolées ou ostracisées!

On attaque le religieux, en particulier le Christianisme, on lui fait porter tous les maux, on cherche à réécrire les Écritures pour qu'elles soient conformes au monde qui nous est désormais proposé comme la seule alternative.

Ne voyez-vous pas ce que cherchent à accomplir les puissances et dominations de ce monde?

Au nom du profit, de l'argent, du pouvoir, du contrôle, ce sont souvent des MALades qui mènent le bal, je vous le dis.

La mal porte ses fruits.

Proverbes 22:28 - Ne déplace pas la borne ancienne, Que tes pères ont posée.

2 Timothée 3:1-5 - Sache que, dans les derniers jours, il y aura des temps difficiles. Car les hommes seront égoïstes, amis de l'argent, fanfarons, hautains, blasphémateurs, rebelles à leurs parents, ingrats, irréligieux, insensibles, déloyaux, calomniateurs, intempérants, cruels, ennemis des gens de bien, traîtres, emportés, enflés d'orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu, ayant l'apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force. Éloigne-toi de ces hommes-là.

Romains 1:28-32 - Comme ils ne se sont pas souciés de connaître Dieu, Dieu les a livrés à leur sens réprouvé, pour commettre des choses indignes, étant remplis de toute espèce d'injustice, de méchanceté, de cupidité, de malice; pleins d'envie, de meurtre, de querelle, de ruse, de malignité; rapporteurs, médisants, impies, arrogants, hautains, fanfarons, ingénieux au mal, rebelles à leurs parents, dépourvus d'intelligence, de loyauté, d'affection naturelle, de miséricorde. Et, bien qu'ils connaissent le jugement de Dieu, déclarant dignes de mort ceux qui commettent de telles choses, non seulement ils les font, mais ils approuvent ceux qui les font.